Comment est venue l'idée ?
Parce que c'était cousu de fil blanc.
Une histoire de passion.
Laurence Glorieux commence à créer ses vêtements et réaliser ses patrons en papier journal, dès l’âge de 13 ans. Elle confectionne des vêtements personnalisés pour ses amies, ses soeurs. Elle choisit de se former à la technique du vêtement. Jeune diplômée de l’École Supérieure de l’industrie du vêtement après un bac professionnel et un BTS, elle travaille pour l’industrie du vêtement. Son début de carrière a été marqué par les prémisses de la Fast Fashion et la délocalisation de masse. Une mission à Madagascar lui fait prendre conscience rapidement de l’impact du vêtement dans la société et l’environnement, des valeurs aux antipodes de sa vision du vêtement. Comment trouver sa place dans une industrie à l’opposé de ses valeurs ?
En 2013, elle écrit un rêve, ouvrir une maison de couture, où elle exprimerait sa créativité, donnerait le pouvoir de créer à la cliente, prendrait en compte les particularités de chacune, valoriserait le travail des “petites mains”. Ainsi, chaque robe aurait une valeur sentimentale et respecterait les conditions sociétales et environnementales.
De fil en aiguille.
Une année de recherche et développement.
Pourquoi des robes ?
La première robe livrée.
Une vision.
“Une garde-robe responsable et alignée avec qui nous sommes est une garde-robe personnalisée, sur-mesure, intemporelle et durable.
Quand notre garde-robe est cohérente, tous nos vêtements s’accordent. Elle se compose d’articles upcyclés, de seconde main et de vêtements de valeur.
J’ai choisi de ne concevoir que des vêtements de valeur pour donner de la valeur tant à celles et ceux qui les fabriquent qu’à celles qui les portent.
Un vêtement qui habille est un vêtement bien coupé qui nous correspond, nous illumine, nous porte et procure de l’émotion. Un vêtement ne doit pas seulement nous couvrir, un vêtement porte et raconte une histoire.”
Quand notre garde-robe est cohérente, tous nos vêtements s’accordent. Elle se compose d’articles upcyclés, de seconde main et de vêtements de valeur.
J’ai choisi de ne concevoir que des vêtements de valeur pour donner de la valeur tant à celles et ceux qui les fabriquent qu’à celles qui les portent.
Un vêtement qui habille est un vêtement bien coupé qui nous correspond, nous illumine, nous porte et procure de l’émotion. Un vêtement ne doit pas seulement nous couvrir, un vêtement porte et raconte une histoire.”
Nos belles adresses.
Nous avons tissé des liens avec de belles maisons aux valeurs qui nous ressemblent.
